Poligeek

Le podcast Politique et Tech !

19 mai 2016

Enregistré le 15 mai 2016

Durée : 1:28:15

TL;DR : C’est reparti !

Auditrices, auditeurs, nos chers camarades, trois ans après, Poligeek revient pour une 51ème édition qui marque le début d’une nouvelle ère.

Alors que Borosch et Fabien explorent des contrées lointaines, Adrien reste fidèle à la Ville Lumière et c’est à distance que nous enregistrerons ces nouveaux épisodes.

Certaines choses ne changent pas.

Qui pourrait entendre Poligeek sans minute HADOPI ? Il y aura donc une minute HADOPI, mais sous forme d’oraison funèbre (ou pas ?). Moqueries et rappels historiques accompagneront « l’affaire SarkoCoin » La lumière sera faite sur des mesures antiterroristes du gouvernement (de sombres histoires de bulles et d’algorithmes). Nous finissons par nous plonger dans la chaleur du Brésil, où vous apprendrez que les déboires présidentiels du moment s’accompagnent visiblement de dommages collatéraux (WhatsApp).

#OnVautMieuxQueCa, Nuit Debout et loi Travail

Le grand débat est consacré aux événements qui rythment la France depuis des semaines, à savoir le mouvement Nuit Debout, le collectif #OnVautMieuxQueCa, et les grèves et manifestations contre la Loi Travail. Nous discutons de l’importance réelle et du rôle d’internet et des réseaux sociaux dans leurs déroulements, et de ce que l’on peut en attendre dans le futur.

Nous finissons par les traditionnels ​big ups​, où chacun passe exactement 60 secondes à évoquer un livre, un film, un disque ou autre chose qui lui aura plu ou déplu.


P.S. : C’est la reprise, nous sommes légèrement rouillés. Autorisez-nous une courte phase de rodage technique. La peinture est encore fraîche, toutes les prises ne sont pas brassées, mais ça viendra ! (Si vous n’êtes pas d’accord, ça sera 49.3).

Erratum de Borosch : André Brahic n’a pas découvert les anneaux de Mercure (qui n’existent pas), mais ceux de Neptune.

L'illustration de cette émission utilise Nuit Debout Paris, de Nicolas Vigier.

Partager et télécharger Poligeek #51 - L'absence dure trois ans